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FRANCE,
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Mardi 16 octobre 2007 :

ANTISEMITISME : AFFAIRE SARKOZY : Dans l'édition du quotidien national "Le Figaro" daté du 12 octobre 2007, Jean-Marc Leclerc révèle que la Direction centrale de la police judiciaire a déployé d’importants moyens pour identifier l’auteur d’un courriel (email) affirmant que l'actuel Président de la République, Nicolas Sarkozy et plusieurs de ses "lieutenants" (Patrick Balkany, Pierre Lellouche, Patrick Devedjian et Manuel Aeschlimann) sont liés à l’appareil d’Etat israélien, via un des services secrets de celui-ci, le Mossad. C'est une accusation de haute trahison, qui est un crime, consistant en une extrême déloyauté à l'égard de la France de la part du Chef de l'Etat. Nicolas Sarkozy serait, selon cet email qui mobilise les élites de la Police nationale, à la solde d'une puissance étrangère, l'Etat d'Israël. Fin mars 2007, tous les directeurs départementaux de la sécurité publique, soit une centaine de hauts fonctionnaires, ont été destinataires d’un étrange courriel. Le futur président y était taxé, ni plus ni moins, d’avoir été recruté dans les années 1980 par le Mossad, le service secret israélien, précise Jean-Marc Leclerc. Une "note de synthèse" de 2 pages explique l'infiltration du Mossad israélien dans l’UMP, le parti au pouvoir. "Faut-il être un corbeau pour affirmer l'allégeance de Sarkozy à Israël ?" s'interroge "Europalestine". Nicolas Sarkozy, "que représente-t'il ?, l'axe du mal" accuse "Tout sauf Sarkozy" dans le collimateur du CRIF, proche de l'interdiction selon Marc Knobel, chercheur. "Nicolas Sarkozy au service du Mossad, de la CIA et du CRIF, contre la République" accusait à son tour, dans un communiqué daté du 26 juillet 2006, l'humoriste et leader noir, Dieudonné. Plusieurs déclarations de personnalités juives de premier plan ont renforcé de telles orientations envers Israël et les Juifs. Christian Estrosi, alors ministre de l'Aménagement du territoire en mission en Israël, assurait fin novembre 2006 dans une interview accordée au quotidien israélien Haaretz, que "Sarkozy est le candidat naturel des électeurs juifs". Nicolas Sarkozy, prix de la tolérance 2003 du "Centre Simon Wiesenthal", est une "véritable star chez les juifs de France" lançait Patrick Gaubert, député européen UMP, membre actif de la Délégation pour les relations avec Israël au Parlement européen et président de la LICRA (Ligue contre le racisme et l'antisémitisme). Et, Nicolas Sarkozy ne manque jamais un dîner annuel du Conseil représentatif des institutions juives de France CRIF, où il y est acclamé à droite comme à gauche y compris par les sympathisants de l'organisation sioniste Hachomer Hatzaïr, le plus vieux mouvement de jeunesse juive. Nicolas Sarkozy, est reçu aux Etats-Unis, en 2004, par David Harris, le tout puissant directeur, de l'American Jewish Committee. Le 3 mai 2004, Nicolas Sarkozy décore de la Légion d'honneur Israël Singer président du Congrès juif mondial, WJC. Israël Singer soulignera le 12 septembre 2006 que "les déclarations de Nicolas Sarkozy sur l'antisémitisme, la lutte contre l'islamisme et les positions en faveur d'Israël qu'il a rappelées au Président George W Bush, le terrorisme palestinien et du Hezbollah, ou sur l'Iran, sont telles qu'elles pourraient avoir été faites par un leader d'une d'organisation juive." Le général Ariel Sharon, alors Premier ministre israélien, déclare publiquement à Nicolas Sarkozy : "Je suis certain que vous avez bien conscience de faire partie de nos amis." Concernant la seconde guerre du Liban, Nicolas Sarkozy déclarera : "Je veux dire combien je me sens proche d'Israël. Israël est la victime. Israël doit tout faire pour éviter de passer pour l'agresseur." A Neuilly, où Nicolas Sarkozy a été le maire, il ne rate jamais une fête à la synagogue ni la célébration de mariages civils de couples juifs quand les familles sont influentes, rapporte le quotidien "Libération". Enfin, une vidéo circulant sur Internet confirme que l'actuel Président de la République, Nicolas Sarkozy, était en Israël pendant la guerre des 6 jours. Né en 1955, Nicolas Sarkozy, avait 12 ans, âge considéré comme "potentiel" pour les "enfants de la guerre" par les recruteurs des services secrets israéliens du MOSSAD, spécialisés dans la guerre psychologique, la déstabilisation, la propagande et les opérations de mystification. Le 24 juin 2006, devant la communauté juive de Montpellier jumelée avec la ville israélienne de Tibériade en Palestine, Georges Frêche a révélé, en présence de l'ambassadeur d'Israël en France, Daniel Shek, s'être fait un ami "Nicolas Sarkozy" qui, s'ils "n'étaient pas du même bord, pour Israël ils étaient du même bord". Georges Frêche se dit ravi que la France ait élu au suffrage universel direct un Juif, Président de la République". Citant "les Juifs Léon Blum et Mendès France", Georges Frêche ajoute : "Et en plus, avec Bernard Kouchner Ministre des Affaires Etrangères, qu'est-ce que vous voulez de plus ? Alors, je vais dire à mon ami Kouchner, quand est-ce que tu reconnais Jérusalem capital d'Israël ?". En Israël, plus de 87 % des Français ont voté pour Nicolas Sarkozy lors de l'élection présidentielle du 6 mai 2007.



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