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LES ARCHIVES 2008 DU CAMEROUN


Samedi 23 février 2008 : Plus de 35 000 enfants, de 6 mois à 15 ans, ont été vaccinés, du 13 au 17 février 2008, contre la rougeole et la poliomyélite dans le district de Kousséri, au nord-est du Cameroun, qui accueille de nombreux réfugiés en provenance du Tchad.

Lundi 25 février 2008 : Lors d'une manifestation contre la révision de la Constitution qui s'est déroulée samedi 23 février 2008 à Douala la capitale économique du pays, un jeune homme de 21 ans a été tué lorsque la police a ouvert le feu à balles réelles sur les manifestants, selon le chef du Front démocratique social, qui avait appelé à manifester. Des affrontements ont éclaté après que la police ait tenté de disperser la foule à coups de gaz lacrymogènes et de canons à eaux. Le gouvernement parle de "mort par balles" et d'aucune implication de la police.

Lundi 3 mars 2008 : Le député tchadien et opposant au régime du président Idriss Deby Itno, Ngarlejy Yorongar, disparu depuis son arrestation le 3 février 2008 après une tentative de coup d'Etat, est arrivé dimanche 2 mars 2008 à Yaoundé, la capitale, en provenance du nord du Cameroun.

Lundi 7 avril 2008 : L'opposition a dénoncé samedi 5 avril 2008 le projet de réforme constitutionnelle déposé vendredi 4 par le gouvernement et visant à supprimer la limite au nombre de mandats présidentiels, ce qui permettrait au président Paul Biya, au pouvoir depuis 26 ans, de se présenter à nouveau mandat, à l'expiration de son mandat de 7 ans en 2011. Le pouvoir contrôle 153 des 180 sièges au parlement.

Samedi 12 avril 2008 : Le parlement a adopté mardi 8 avril 2008 un projet de révision de la Constitution qui vise à permettre au président Paul Biya, au pouvoir depuis 25 ans, de se présenter pour un nouveau mandat au terme de son mandat en 2011. L'article 51 doit être également modifié. Il stipule que le président ne peut être poursuivi pour les actes qu'il a accomplis au terme de son mandat.

Samedi 1er novembre 2008 : 10 employés du secteur pétrolier, (6 Français, 2 Camerounais, un Tunisien et un Sénégalais), membres de l'équipage d'un navire du groupe français Bourbon, le "Bourbon Sagitta", opérant sur un terminal pétrolier, ont été enlevés vendredi 31 octobre 2008 dans les eaux camerounaises à la frontière du Nigeria. La prise d'otages a été revendiquée par les Combattants pour la liberté à Bakassi (Bakassi Freedom Fighters (BFF). Les ravisseurs menacent d'exécuter les otages si les autorités camerounaises ne viennent pas discuter avec eux dans la péninsule de Bakassi, rétrocédée au Cameroun par le Nigéria le 14 août 2008 après 15 ans de litige frontalier, zone riche en pétrole et où selon le BFF, "la population souffre et n'a pas de nourriture". La présidence camerounaise a indiqué dans un communiqué que "tout est mis en oeuvre pour préserver la vie des otages et pour identifier les ravisseurs" ajoutant : "Le président de la République Paul Biya (actuellement en voyage privé en Suisse) qui suit de près la situation condamne fermement cet acte de piraterie perpétré dans les eaux territoriales nationales".

Vendredi 7 novembre 2008 : Selon un membre des Combattants pour la liberté à Bakassi (Bakassi Freedom Fighters, BFF), un groupe rebelle membre du Conseil de défense et de sécurité du Delta du Niger (CDSDN), les 10 otages enlevés vendredi 31 octobre 2008 d'une attaque contre un navire de la société française Bourbon affrété par Total opérant sur un terminal pétrolier au large du Cameroun sont tous en vie. Les ravisseurs avaient menacé de "tuer les otages un par un à partir de lundi" si les autorités camerounaises ne viennent pas discuter avec eux dans la péninsule de Bakassi, rétrocédée au Cameroun par le Nigéria le 14 août 2008 après 15 ans de litige frontalier, zone riche en pétrole et où selon le BFF, "la population souffre et n'a pas de nourriture".

Mercredi 12 novembre 2008 : 10 employés du secteur pétrolier, (6 Français, 2 Camerounais, un Tunisien et un Sénégalais), membres de l'équipage d'un navire du groupe français Bourbon, le "Bourbon Sagitta", opérant sur un terminal pétrolier, enlevés vendredi 31 octobre 2008 dans les eaux camerounaises à la frontière du Nigeria, ont été libérés et conduits mardi 11 novembre 2008 à l'Ambassade de France à Yaoundé la capitale. La prise d'otages avait été revendiquée par les Combattants pour la liberté à Bakassi (Bakassi Freedom Fighters (BFF). Les ravisseurs menaçaient d'exécuter les otages si les autorités camerounaises ne venaient pas discuter avec eux dans la péninsule de Bakassi, rétrocédée au Cameroun par le Nigéria le 14 août 2008 après 15 ans de litige frontalier, zone riche en pétrole et où selon le BFF, "la population souffre et n'a pas de nourriture".




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